Gwendola

Intermède


Par Anne Dargenton

J’ai revu
ma copine Gwendola. Elle est sympa.
Enfant, déjà, elle tapait sur la tête de son petit frère avec sa crêpière (elle est bretonne). Ensuite, à l’école, nul ne pouvait vraiment échapper à son instinct de prédatrice. On la mettait au coin et elle passait ses journées les griffes plantées dans le placoplâtre...
Ses pulsions destructrices furent bientôt repérées dans les hautes sphères de l’Etat comme modèle de gestion de la crise économique. Aujourd’hui, elle a trouvé sa voie avec l’acupuncture.

Ayaïeyaïe...

Commentaires

Articles les plus consultés les 30 derniers jours